
Les places en soins palliatifs se font rares dans la région.
À la Maison Marie-Pagé, en date de mardi midi, ils sont cinq en attente d’être admis.
La directrice générale, Nathalie Provencher, a expliqué que c’est depuis mai, environ, qu’il y a une liste d’attente, ce qui n’est généralement pas le cas.
Face à la pénurie de main-d’oeuvre, de un à deux lits sont fermés parmi les 10 que la Maison Marie-Pagé possède.
En entrevue, la direction du CIUSSS MCQ a mentionné que deux des quatre lits de l’Hôtel-Dieu d’Arthabaska prévus à cet effet sont maintenant dédiés à un autre service.
La raison évoquée est aussi le manque de personnel et les vacances.
Par contre, la direction a indiqué que si une troisième personne avait besoin d’un lit, alors un lit de l’unité de médecine pourrait être utilisé.
Dans un reportage, Radio-Canada a constaté que les places en soins palliatifs se faisaient aussi rares en Mauricie et au Centre-du-Québec.