« Il faut notamment régler les problèmes urgents de manque de ressources professionnelles »

Les quelque 1000 professionnelles de l’éducation de la région affiliée à la CSQ espèrent que le gouvernement discute sérieusement avec leurs porte-parole afin de trouver des solutions concrètes.

Leur convention collective est échue depuis un peu plus d’un an.

« Il faut notamment régler les problèmes urgents de manque de ressources professionnelles, de salaire, de précarité et de lourdeur de la tâche », a indiqué la présidente de la SPEECQ-CSQ, Alexandra Vallières.

Les professionnels de l’éducation ont manifesté hier en plus d’avoir été en grève une partie de la journée.