
Devant le Tribunal administratif du Travail jeudi, la Ville de Victoriaville a retiré sa requête d’ordonnance qu’elle avait déposée le 23 février concernant des moyens de pression qu’elle jugeait illégaux de la part de quelques-uns de ses fonctionnaires municipaux.
Ce dossier concernait des employés, dont certains étaient attitrés au déneigement, qui refusaient de travailler.
Mario Jean, du Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP), a reconnu qu’il était satisfait que la Ville ait fait marche arrière dans ce dossier.
En milieu de semaine, la Ville a annoncé « le dépôt d’une demande proactive de nomination d’un médiateur-conciliateur auprès du ministère du Travail du Québec » quant aux négociations du renouvellement de la convention collective de ses employés.