
La directrice clinique de Répit-Jeunesse, Lauriane Provost, a constaté qu’au cours des derniers mois, la santé mentale de ceux qui fréquentent l’organisme s’est effritée en plus du niveau de vulnérabilité ainsi que de la précarité qui ont augmenté.
D’ailleurs, ils sont passés de deux travailleurs de rue à quatre depuis trois mois afin de mieux répondre à la demande qui ne cesse d’augmenter.
Mme Provost a également constaté que c’était la première fois que l’organisme n’arrivait pas à loger certaines personnes qui souhaitaient trouver un logement pour la nuit.
Lorsque ça l’arrivait, Répit-Jeunesse leur achetait des sacs de couchage pour être au chaud pour la nuit, dehors.
La directrice clinique croit que chacun, à sa manière, peut aider.