
En raison de la réduction du nombre d’abattages de cochons et des pertes financières de l’entreprise, des usines d’Olymel pourraient fermer.
C’est ce qu’a révélé La Presse alors que le président-directeur général d’Olymel, Yanick Gervais, a affirmé que la compagnie n’avait pas les mêmes besoins à 81 000 cochons abattus par semaine qu’à 130 000.
M. Gervais a ajouté que sans confirmer de scénario, ils doivent revoir leurs opérations.
Questionné au début de février sur l’avenir de l’établissement de Princeville peu de temps après la fermeture des usines à Blainville et Laval, le président du syndicat de l’établissement de Princeville, Steve Houle, avait indiqué que les produits qui sortaient de cette bâtisse étaient pour l’exportation plutôt que ceux destinés au marché local.
Ils sont un peu moins de 300 employés à l’usine de Princeville.