Pierre Fortier satisfait de sa première année comme maire de Plessisville

Le 7 novembre, cela fera un an que l’ancien conseiller municipal, Pierre Fortier, est le maire de Plessisville. L’homme de 63 ans reconnait que l’adaptation à son nouveau poste a parfois été laborieuse.

Comme conseiller municipal, Pierre Fortier aimait s’occuper de l’aspect économique de la Ville et ça l’a aidé à se familiariser rapidement avec certains dossiers. 

Lorsqu’il a pris les commandes de la Ville, il a toutefois eu besoin d’un temps d’environ quatre mois pour bien comprendre les dossiers municipaux.

« Lire de gros documents de 30 ou 40 pages, je n’avais jamais fait ça ! », lance-t-il, sourire en coin. 

« Et en plus, ce n’est pas toujours clair ce qui est écrit. Je devais parfois relire quelques passages pour mieux comprendre ce que je lisais », de dire celui qui a osé avouer que ce travail pouvait parfois être difficile.

Pour s’assurer de bien comprendre les dossiers, le maire de Plessisville a pris l’habitude de les lire les matins, tôt, sans être dérangé par la télévision, la radio ou le téléphone. 

Un autre aspect ardu de sa nouvelle fonction, du moins au début, était celui de voir chacune des lignes de son agenda être remplies. Il ne compte plus les conflits d’horaire qu’il a eu au cours de la dernière année.

« Mon agenda est très chargé, dit-il sans détour. Heureusement, j’ai une bonne équipe qui m’entoure et une famille qui me supporte. »

Quelques minutes avant son entrevue avec monvicto.com à 13 h, il sortait d’une réunion qui devait se terminer à 11 h. Et, elle n’était pas encore terminée… 

Il y a aussi les rencontres avec les MRC qui prennent de son temps. Par mois, un peu plus de cinq réunions sont à son agenda. 

Un bilan satisfaisant

Lorsqu’il regarde la dernière année qu’il vient de vivre, Pierre Fortier sourit

Le parc industriel a continué de se remplir sans oublier la construction de 50 nouveaux logements sur son territoire. D’ailleurs, le même nombre devrait voir le jour au printemps prochain. 

« C’est certain qu’il y aurait plus de monde à Plessisville si on construisait plus de logements », assure-t-il.  

« Il y a du travail dans tous les domaines », ajoute-t-il en conclusion.

À venir samedi à midi

Mario Fortin a passé le flambeau au bon moment