
La présidente de la Commission scolaire des Bois-Francs est loin d’être enthousiaste face à la réforme présentée par le ministre de l’Éducation, Jean-François Roberge.
Paulette S. Rancourt trouve particulier l’abolition d’un palier démocratique alors qu’ailleurs dans le monde, des gens se battent pour en obtenir.
Elle déplore aussi la différence de traitement entre les commissions scolaires francophones et anglophones :
Si le ministre plaide pour une décentralisation des pouvoirs, Mme Rancourt constate plutôt le contraire :
À l’instar des autres commissions scolaires, Mme Rancourt souhaite que le gouvernement tienne une commission parlementaire élargie sur cette réforme.