
Le nouveau patron d’Hydro-Québec, Michael Sabia, a demandé une étude pour savoir si c’était possible de redémarrer la défunte centrale nucléaire Gentilly 2 à Bécancour.
C’est ce que le Journal de Montréal a rapporté.
On rappelle que lors de son entrée en poste, celui qui a succédé à Sophie Brochu, avait laissé la porte ouverte au nucléaire.
La direction d’Hydro-Québec a mentionné qu’elle était en train de regarder pour faire marche arrière.
Gentilly 2 est inactive depuis 2012 alors que la société d’État avait mentionné, à l’époque, que le type de démantèlement était pourtant irréversible.
Le Parti québécois de Pauline Marois a fermé la centrale en raison, entre autres, d’un tremblement de terre au Japon qui avait frappé une centrale de Fukushima et fait près de 15 000 morts.